Les prostituées et immigrants illégaux de Denis Coderre
Deux articles récemment publiés sur le site web de CKOI jettent de la lumière sur un article préalablement publié sur notre site web. Ces éditoriaux, écrits par Marie-Claude Montpetit, explorent une culture de corruption impliquant l’ancien Ministre Libéral de l’Immigration Denis Coderre, l’ancien ambassadeur Américain Mark Gregory Hambley, des policiers du Service de Police de la Ville de Montréal et d’autres individus avec plus d’un squelette dans leurs garde-robe.
Le premier article sert d’introduction à la rapide montée au pouvoir de Denis Coderre durant le court reigne de Paul Martin à la tête du gouvernement fédéral mandat de Jean Chrétien. Un extrait:
Les fonctionnaires, qui revendiquaient depuis longtemps l’aval politique qui les autoriserait à appliquer pleinement les mesures et pouvoirs déjà prévus par les lois et règlements, ont pris acte des directives du ministre avec un grand enthousiasme, mais aussi avec une pointe fortement aiguisée de scepticisme, puisque le bilan qu’ils faisaient de leur expérience leur démontrait, que ce n’était pas l’existence de règles sécuritaires qui faisait défaut à un meilleur contrôle de l’immigration, mais bien la fluctuation de la volonté politique d’assurer l’applicabilité des lois et règlements déjà en vigueur, et d’ailleurs pleinement suffisants à assurer des contrôles sécuritaires efficaces.
Comme de juste, la synchronie existant entre la gouverne qu’a exercé le ministre lors de son court passage au ministère, et l’avènement de l’immigration d’un groupe important de ressortissants paskistanais au Canada, qui est dorénavant connue comme l’affaire des passeports pakistanais aura effectivement servi à confirmer le scepticisme exprimé par les fonctionnaires du ministère.
Montreal 9/11 Truth a appris de source sûre que plusieurs de ces ressortissants sont en fait des membres de Jamaat ul-Fuqra, une organisation nommée terroriste par le Département d’État américain dans un rapport de 1999 mais, qui depuis ce temps, a été mystérieusement enlevée de la plus récente liste. De plus, selon certaines informations obtenue par The Politics of CP, le gouvernement canadien aurait été au courant de la présence de membres de ce groupe depuis 1991…
Le deuxième article discute de l’harcèlement para-légal subi par Marie-Claude Montpetit suite à son refus de faire partie de la crochitude d’un réseau international de prostitution/esclavagisme sexuel. Un extrait:
Pour Marie-Claude Montpetit, toute l’insistence conjuguée d’un tenancier d’établissement sexuel et d’un ambassadeur, mise en oeuvre pour conserver sa collaboration, ne faisait que lui confirmer les déclarations lui ayant été faites par certains des agents de Citoyenneté et Immigration Canada et selon lesquelles elle aurait été mandatée aux seules fins d’offrir une couverture légale à des actes de traite sexuelle.
Bien mécontents du fait que les motifs de la cessation d’occuper de Marie-Claude Montpetit se retrouvent inscrits dans les dossiers et archives de Citoyenneté et Immigration Canada, Stergiou, Lukacs, Hambley et Coderre ont participé à l’orchestration d’une mise en scène pour priver Marie-Claude Montpetit de sa crédibilité personnelle et professionnelle, en la faisant accuser criminellement de fraude, d’escroquerie et de fabrication de documents. Cette dernière accusation visait certainement et principalement à pouvoir remettre en question la véracité des motifs invoqués au soutien de sa cessation d’occuper.
Ainsi, à partir du mois de mai 2003, Marie-Claude Montpetit a été littéralement ensevellie sous une multitude d’accusations pénales et criminelles, de poursuites civiles et de plaintes professionnelles qui tendaient toutes à la discréditer, à la fiare condamner, et ultimement, à l’empêcher de dénoncer certains scandals, dont celui de la traite sexuelle se trouvant facilité par les lois canadiennes et les actions et omissions de certains politiciens canadiens, qui partagent des intérêts financiers avec certains membres de la diplomatie américaine.
Les prochaines chronicles de Marie-Claude Montpetit seront publiées sur mcmontpetit.ckoi.com - une histoire à suivre!
18 Comments to 'Les prostituées et immigrants illégaux de Denis Coderre'
Subscribe to comments with RSS or TrackBack to 'Les prostituées et immigrants illégaux de Denis Coderre'.
Salut Jean-Philippe,
Quelques mots pour te remercier de votre collaboration.
À lire aujourd’hui, la chronique intitulée chronique néchrologique.
Salutations à toute l’équipe,
Marie-Claude
Le commentaire de Montpetit est pure fabrication, mensogé et diffamatoire. Elle fait l’objet d’une mise en demeure et s’expose à des poursuites judiciaires. En reproduisant et en commentant les propos de Montpetit vous pouvez vous exposer aux mêmes poursuites.
Pour votre gouverne également, je n’étais pas ministre de l’Immigration sous Paul Martin.
Veuillez agir en conséquence
Ce qui me fait tiquer dans cette histoire ce sont la provenance des appels de menace envers madame Montpetit c’est à dire du quartier général de la police. De plus Gilles Proulx lui-même a dit avoir reçu à la veille d’une entrevue avec Marie-Claude vers 22h00 chez lui de la part d’un haut gradé de la police de Montréal intimant Proulx de ne pas interviewer mme Montpetit parce qu’elle n’était pas crédible et qu’elle avait des fréquentations douteuses. Gilles Proulx s’est demandé depuis quand des hauts gradés de la police téléphonent tard en soirée a des animateurs pour leur dire que tel ou telle invité n’était pas crédible. Il a ajouté que cette histoire ne sentait pas bon. Pour ce qui est de Denis Coderre, Gilles a mentionné qu’il avait tenté de le joindre plusieurs fois sans avoir de réponse. M. Coderre a plutôt choisi de répondre via des mises-en-demeure. C’est légitime mais n’aide pas son image…
Monsieur Coderre,
D’abord, le mot mensongé n’existe pas, celui auquel vous prétendiez s’écrit : mensonger / mensongère.
Ensuite, vos menaces de mise en demeure ne font peur qu’aux gens gouvernés par des spectres du Parti Libéral.
Encore, Madame Montpetit ne fait pas l’objet d’une mise en demeure, mais bien de deux lettres de mise en demeure, dont une comportant des fautes d’orthographe. Votre campagne de peur ne prendra jamais forme car vous me donneriez alors l’occasion de déposer judiciairement les lettres signées de votre main. Bien que Mark Bruneau a récemment racheté les dettes du Parti Libéral fédéral en échange d’un comté aux prochaines élections, je ne crois pas qu’il soit intéréssé à financer vos poursuites personnelles.
Finalement, au chapitre de la fabrication, je ne pense pas que vous ayez de leçon à donner à quiconque.
Je me fais un plaisir de devoir vous affronter dans le comté de Bourassa et je suis impatiente.
N’ayant crainte de signer mon nom, je signe donc,
Marie-Claude Montpetit
Monsieur Coderre,
Venant tout juste d’y penser, qu’est-ce qui serait mensonger?
L’affaire des passeports pakistanais?
Votre implication pour l’initiation d’une fausse plainte contre moi?
Votre implication dans la traite sexuelle?
Le fait que j’aie été contactée le 21 juillet pour que l’on me remette de l’info vous concernant?
Dites-nous donc ce qui est «mensogé» Monsieur Coderre!
Marie-Claude Montpetit
Resistance Canada,
Votre question est en effet fort pertinente.
C’est d’ailleurs l’implication du SPVM et leur acharnement à ne pas me reconnaître le droit de déposer des plaintes qui est fort révélatrice dans toute cette saga.
L’autre question pertinente est depuis quand est-ce que la police accorde de la crédibilité à des prostitués. La police attend habituellement la mrt de ces filles avant de bouger. Pourquoi le SPVM fut il si prompt à acccuser dans mon dossier, sachant que les plaintes provenaient justement de prostitués?
La réponse est bien simple. C’est justement car les plaines ne provenaient pas de ces prostitués et qu’ils n’étaient que les «fronter» pour d’autres personnes.
Merci de votre commentaire,
Marie-Claude Montpetit
Monsieur Coderre,
Je n’ai toujours pas reçu signification de vos procédures.
Vos procureurs sont-ils en vacance?
Coderre a dit : “en commentant les propos de Montpetit vous pouvez vous exposer aux mêmes poursuites.” …
Vraiment, vous vous prenez pour qui monsieur Coderre ? Faire peur au gens de cette façon … Je suis un être humain, pas un dévot de la magouille judiciare et politique. J’ai une consciense et une parole, je suis libre … Si j’ai envie de croire ou ne pas croire les affirmations de madame MonPetit et de les commenter c’est mon droit ! Ce ne sont pas vos petites avocasseries qui vont m’en empêcher.
Un jour vous allez payer votre mépris des libertés humaines monsieur Coderre …
Bonjour Madame Montpetit,
vous devriez également publier vos textes sur des sites de médias citoyen comme :
http://www.centpapiers.com/
http://www.cmaq.net/fr/
http://www.latribuduverbe.com/
Bonne chance dans vos démarches
Bonjour Monsieur Kusa,
Je vous remercie pour le commentaire que vous avez eu le courage de mettre en ligne. Chaque mot d’encouragement permet de construire et de maintenir vivante la toile de défense.
Je vous remercie pour les références et vous pouvez¸être assuré que je vais les exploiter.
Je vous recommande à mon tour de lire les articles que je publie sur le site de CKOI.
Si vous êtes intéréssé, vous pourrez aussi venir me donner un coup de main dans ma campagne électorale contre Coderre.
Dans l’espoir de lire vos commentaires encore et encore, je vous transmets mes salutations cordiales,
Marie-Claude Montpetit
Monsieur Coderre,
Le 23 juillet, j’attendais, encore, encore et encore vos procédures.
En date d’aujourd’hui, le 28 juillet 2008, j’attends encore, encore et encore.
Vous êtes bien le fils spirituel du Partil Libéral du Canada: les menaces, les menaces et encore les menaces.
Marie-Claude Montpetit
Monsieur Coderre,
Que se passe-t-il?
Où sont-elles vos procédures en diffamation et en injonction?
Nous ne les avons toujours pas reçues!
Cela ne m’étonne pas. Ayant moi aussi été à l’école du Parti Libéral, je sais qu’on nous y enseigne que la menace est parfois toute aussi puissante que l’acte y visé.
Marie-Claude Montpetit
Monsieur Coderre,
La journée du 29 juillet 2008 s’est déroulée comme à votre bonne habitude: toujours pas de concrétisation de votre menace de poursuite.
Plus les journées filent, plus ma campagne électorale s’organise et plus elle s’enrichie.
Je suis comme un enfant devant son premier sapin de noël, j’attends avec une grande impatience le moment de vous affronter politiquement et électoralement dans le comté de Bourassa.
Partagez-vous ma hâte?
Marie-Claude Montpetit
Monsieur Coderre,
Très certainement, la journée du 30 juillet a été à l’image de celles qui la précéderent: menace, mais pas d’action de votre part.
Où sont-elles vos procédures Môssieur Coderre?
Marie-Claude Montpetit
Monsieur Coderre,
Nous sommes aujourd’hui le 1er août 2008. Récemment, vous tentiez de faire peur à tous qui auraient voulu discuter de votre implication dans la traite sexuelle des migrants au Canada.
Depuis vos menaces, beaucoup de personnes en ont fait fi et se sont exprimées. Pourtant, elle n’ont pas reçu vos procédures annoncées, pas plus que moi d’ailleurs!
Bien c’est cela: ce n’était une fois de plus qu’une menace.
À bientôt sur le chemin électoral.
Marie-Claude Montpetit
Monsieur Coderre,
Quatre jours se sont encore passés, et voilà, toujours pas de procédure de votre part!
Menace, menace, menace, quand tu m’adores, tu d’endors!
Marie-Claude Montpetit
Monsieur Coderre,
Le 8 août 2008, bien oui, pratiquement un mois après votre menace de poursuites…
Rien, toujours rien, et encore rien.
Plus les jours passent et plus les gens constatent que vous n’êtes qu’un de «homme» de menaces.
Pour l’action, on repassera mon cher Denis.
Marie-Claude Montpetit